mercredi 31 décembre 2014

Billets-Vœux 2015


Très belle et très heureuse année à tous les visiteurs de Blog 75

Dessins de presse


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mardi 30 décembre 2014

lundi 29 décembre 2014

Billets-Compte pénibilité


Compte pénibilité

Tout comprendre au nouveau casse-tête bureaucratique
En cette période de Noël, les entrepreneurs français s’apprêtent à trouver au pied du sapin un étrange cadeau de leur ministre des Affaires Sociales et de la Santé, Marisol Tourraine. J’ai bien-sûr nommé la réforme du Compte Personnel de Prévention de la Pénibilité, mesure qui entrera en vigueur au 1er janvier 2015.

Qui est concerné par le compte pénibilité ?
Dès janvier prochain, chaque travailleur, peu importe son contrat de travail, ayant travaillé au moins un mois sur un trimestre pourra être éligible à l’obtention de points sur son compte pénibilité. Et ce jusqu’à un maximum de 100 points accumulés au cours d’une carrière. Quels sont donc les fameux critères d’éligibilité à ces points ? Réponse : l’exposition à l’un des 10 critères de pénibilité suivants (les 6 derniers ne rentreront en considération qu’à partir du 1er janvier 2016) :



Bon, vous l’aurez compris, si vous n’êtes pas employé de bureau avec des horaires de 9h à 17h, grandes sont les chances que vous tombiez effectivement dans une ou plusieurs des catégories listées ici. Si vous avez des doutes sur votre appartenance à l’une des catégories, vous pouvez toujours regarder ce document fourni par le ministère détaillant au degré près la flexion d’un torse pouvant être qualifiée de posture pénible, la vibration minimum en mètre/seconde2 des mains pouvant être qualifiée de pénible, etc. Pour les autres, passons tout de suite aux systèmes d’accumulation des points :


Pour faire simple, un salarié présent à l’année empoche 4 points par an s’il se qualifie sur un critère et 8 s’il se qualifie sur au moins deux critères. Pour les salariés de plus de 52 ans en janvier 2015, des conditions spéciales plus généreuses seront mises en place dans le calcul et l’utilisation des points.

À quoi serviront les points pénibilité ?
Que peut-on faire de ces points ? Pour les 20 premiers points, le salarié a le droit à de la formation professionnelle à raison de 25h par point, pour un total de 500h au cours de sa carrière. Pour les 80 autres points, le salarié peut convertir chaque tranche de 10 points en 1 trimestre de retraite supplémentaire ou un trimestre de travail à mi-temps sans réduction de salaire.


Évidemment, alors que les syndicats applaudissent à deux mains la réforme, les chefs d’entreprise soucieux se demandent déjà combien va coûter la facture de cette joyeuse kermesse salariale. Une inquiétude légitime puisque le financement de la caisse couvrant les frais du programme sera assuré à 100% par les entreprises par le biais d’un prélèvement nouveau sur la masse salariale qui entrera en vigueur en 2017, et qui sera doublé pour les emplois qualifiés de pénible. Tentons donc de jauger le coût de l’ensemble des mesures annoncées dans le cadre de la réforme.

Quelle sera l’addition pour les entreprises ?
Le gouvernement n’ayant pas d’estimation précise à fournir sur le nombre de salariés potentiellement concernés par la réforme, seuls les chiffres de l’INSEE sur l’emploi salarié par secteur d’activité peuvent nous aider à y voir plus clair.


Comme chacun peut le constater, nombreux sont les domaines d’activité potentiellement concernés par la réforme. Le secteur de la construction par exemple, fort de ses 1,39 millions d’employés, compte à lui seul au moins 1 million de salariés exposés à des critères de pénibilité. Quiconque ayant travaillé sur un chantier vous le dira, la manutention d’objets lourds, les postures pénibles, l’exposition au bruit, aux vibrations mécaniques ou encore l’utilisation d’agents chimiques font partie intégrante de toute activité de construction pour la quasi-totalité des corps de métier de la construction. On pourrait assurément en dire autant de beaucoup d’emplois manufacturiers. Enfin parmi tous les secteurs d’activité, comment évaluer avec précision les nombreux salariés concernés par le critère de pénibilité sur le travail de nuit ? La Dares évoquait déjà le chiffre de 3,5 millions de salariés travaillant habituellement ou occasionnellement de nuit en 2012.

Bref, vous l’aurez compris, la pénibilité concerne au moins entre 3 et 5 millions de salariés au minimum. Sachant que d’après les dispositions de la réforme, chacun de ses salariés pourra bientôt, pour chaque trimestre de travail qualifié de pénible sur au moins un critère, prétendre à 25 heures de formation professionnelle (jusqu’à un maximum de 500 heures dans une carrière) aux frais des entreprises, on imagine facilement que l’addition va grimper à un rythme effréné. Pour n’arranger en rien les choses, la formation professionnelle en France, pilotée par les partenaires sociaux, l’État et les collectivités locales, est depuis de nombreuses années maintenant cette passoire à argent public dénoncée presque tous les ans par la Cour des Comptes. Inefficacité, organisation inadéquate, coûts astronomiques (31 milliards d’euros au dernier comptage, dont plus de la moitié viennent des entreprises) : les dysfonctionnements relevés par la Cour des Comptes étant si profonds, on ne peut que légitimement se demander si une réforme totale du système actuel serait à mettre à l’ordre du jour avant d’évoquer l’idée de faire payer aux entreprises un nouveau dispositif de formation continue.

En plus du coût des heures de formation professionnelle, les entreprises devront aussi couvrir le coût des départs en retraite anticipés et des trimestres à temps partiel payés à temps plein prévus dans le cadre de la réforme. Ainsi, pour un départ anticipé de 2 ans (le maximum prévu dans le cadre du compte pénibilité), on parle d’au moins 24 versements mensuels de pensions à financer via les cotisations prélevées sur les entreprises. Malgré les maigres pensions des retraités du privé, environ 1166 euros par mois, la facture promet d’être salée au vu du nombre d’ayant-droits. À titre d’indication, à terme, 3 millions de travailleurs pouvant partir deux ans en avance après 40 ans de travail avec une pension moyenne coûteraient au bas mot plus de deux milliards par an au système du compte pénibilité.

Alors que l’État ne sait même pas combien de salariés seront à terme concernés par la réforme et que toutes les estimations conservatrices se chiffrent en milliards d’euros, on ne peut que douter de l’estimation gouvernementale chiffrant le coût de la réforme à 155 millions d’euros par an entre 2015 et 2018, et à environ 500 millions par an à l’horizon 2020. Une estimation si grotesque qu’on en vient naturellement à douter de la compétence des individus diffusant ces chiffres.

Enfin, comment peut-on encore se permettre d’imposer un énième fardeau économique et bureaucratique digne des 35 heures alors que le chômage explose et que les entreprises plient sous le poids des charges ? À défaut de pouvoir dire à combien s’élèvera l’addition, on peut déjà parier qu’en renchérissant le coût du travail manuel en France, cette réforme achèvera d’enterrer des pans entiers de l’industrie manufacturière française et enfoncera encore plus le secteur de la construction déjà moribond. Comme à l’accoutumée, les premières victimes de ce suicide économique seront encore une fois les cols bleus les plus fragiles.


Source contrepoints.org

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dimanche 28 décembre 2014

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Billets-Big Brother à la française


Big Brother à la française

Dans un silence médiatique de cathédrale, la majorité socialiste installe Big Brother à l’Élysée !

Nul n’ignore que les textes réglementaires les plus sensibles sont publiés au Journal officiel le week-end du 15 août ou le jour de Noël, au moment où les citoyens ont d’autres préoccupations, vacances ou réveillon. Un nouvel exemple de cette pratique est donné par le décret du 24 décembre 2014 relatif à l’accès administratif aux données de connexion, texte publié au Journal officiel du 26 décembre et qui entrera en vigueur le 1er janvier 2015.

Ce décret a pour objet l’application de l‘article 20 de la loi de programmation militaire (LPM) du 18 décembre 2013, article qui précise le cadre juridique de la procédure d’accès des services de renseignement aux données de connexion circulant sur internet. Au moment du vote de la LPM, ces dispositions avaient suscité une inquiétude, sans pour autant parvenir à une véritable mobilisation. Alors que chacun étale sa vie privée sur Facebook avec un narcissisme non dissimulé, les atteintes qui lui sont portées au nom de la lutte contre le terrorisme sont de plus en plus considérées comme acceptables. Par ailleurs, le simple fait d’offrir un cadre juridique à une pratique qui, auparavant, demeurait ignorée du droit positif a été perçu comme un progrès. La CNIL évalue ainsi à 30.000 le nombre de demandes annuelles de communication de données formulées par les services de renseignement, demandes qui, jusqu’à aujourd’hui, étaient dépourvues de réel fondement juridique.

Le décret définit donc un cadre juridique à cette communication, cadre juridique qui a donné lieu à un avis consultatif rendu par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) le 4 décembre 2014 et publié en même temps que le décret. Ce cadre juridique demeure cependant extrêmement souple, avec un champ d’application imprécis et une procédure d’accès dépourvue de réel contrôle.

  • Les données de connexion
Le décret du 24 décembre 2014 crée un chapitre nouveau intitulé « Accès administratif aux données de connexion » dans la partie réglementaire dans le code de la sécurité intérieure (art.R 246-1 et s. csi). Ces « données de connexion » sont celles, « à l’exclusion de toute autre », qui permettent l’identification d’une ou plusieurs personnes, données énumérées dans les articles R 10-13 et R 10-14 du code des postes et télécommunications électroniques.

La précision est d’importance, et veut affirmer que le décret n’entend pas autoriser les services à effectuer des perquisitions en ligne. Il n’en demeure pas moins que ces derniers peuvent s’appuyer sur les termes de loi, non dépourvus d’ambiguïté (art. L 246-1 csi). Ils affirment en effet que les données de connexion sont communicables, parmi d’autres « documents » et « informations » accessibles sur le même fondement. Qui peut empêcher les services d’invoquer la loi pour obtenir n’importe quel document ou n’importe quelle information conservée sur internet ? Le décret n’offre sur ce point qu’une garantie parfaitement illusoire, garantie qui cède devant la norme supérieure.

  • Un régime juridique proche de celui des écoutes téléphoniques
Sur le plan de la procédure de communication, le décret est largement inspiré de la loi du 10 juillet 1991 relative aux écoutes téléphoniques, loi votée à une époque où internet relevait peu ou prou de la science fiction. Aujourd’hui, le droit positif opère une fusion entre cette procédure ancienne et la procédure nouvelle d’accès aux données de connexion.

Un « groupement interministériel de contrôle » (GIC), service du Premier ministre, est désormais chargé à la fois des interceptions de sécurité et de l’accès administratif aux données de connexion. Les demandes d’accès lui sont adressées par l’intermédiaire d’une « personnalité qualifiée » désignée dans chaque ministère, Défense, Intérieur et Économie. Le GIC les transmet ensuite aux opérateurs concernés. Le secret est donc protégé, puisque ces derniers ignorent quelle autorité leur demande ces informations et pour quel motif. In fine, c’est l’opérateur et lui seul qui procède à la « sollicitation du réseau », formule employée par l’article L 246-3 csi. Il s’agit de protéger les individus contre les risques d’une aspiration en masse des données d’identification.

  • Une absence de contrôle
Le contrôle de l’ensemble de la procédure est pour le moins modeste. Il réside dans l’intervention de la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS). Aux termes de l’article R 246-8 csi, celle-ci « dispose d’un accès permanent aux traitements automatisés » mis en œuvre dans le cadre de ces réquisitions, c’est-à-dire un traitement recensant les demandes d’accès et un autre les données communiquées, toutes informations conservées pendant une durée maximum de trois ans. Les autorités compétentes sont, quant à elles, tenues de fournir à la Commission « tous éclaircissements » qu’elle sollicite sur les demandes d’accès. En revanche, aucun texte n’attribue de pouvoir de sanction à la CNCIS, ni même d’ailleurs une quelconque compétence pour transmettre un dossier au parquet. Les bons sentiments ne font pas les contrôles efficaces, d’autant que le Président de la CNCIS a démissionné en juin 2014 pour protester contre l’absence de moyens affectés à cette fonction de contrôle.

De toute évidence, ce décret s’analyse comme une forme de leurre juridique. Sa fonction n’est pas de renforcer les droits des citoyens mais bien davantage de donner un fondement juridique à l’action des services de renseignement tout en leur laissant une large marge d’autonomie.

Reste à se poser la question de l’avenir de ce décret. Un recours pour excès de pouvoir pourrait-il servir de vecteur à une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) ? Peut-être, puisque précisément le Conseil constitutionnel ne s’est pas prononcé sur la LPM. Sur le fond cependant, on peut s’interroger sur les chances de succès d’une telle démarche. Le droit français, comme d’ailleurs la plupart des systèmes juridiques, se satisfait d’un encadrement symbolique de l’activité des services de renseignement, encadrement symbolique qui suscite un contrôle tout aussi symbolique.


Source contrepoints.org

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samedi 27 décembre 2014

vendredi 26 décembre 2014

jeudi 25 décembre 2014

mercredi 24 décembre 2014

Recettes de Fêtes-Petits gâteaux à l’Anis (Anisbredele)


Petits gâteaux à l’Anis (Anisbredele)

Préparation : 40 mn
Cuisson : 25 mn
Pour 6 personnes
250 g de farine
250 g de sucre
3 œufs entiers
5 g de graine d’anis
1. Travaillez les œufs et le sucre jusqu’à obtention d’un mélange mousseux et blanc, il faut que la pâte tombe en ruban. Environ 20 mn au batteur ou 35 mn à la main.
2. Ajoutez progressivement la farine au mélange en remuant bien puis ajoutez les graines anis.
3. Formez, avec une poche munie d'une douille ronde ou à l’aide de deux cuillères, des tas d’environ ½ centimètre avec la pâté obtenue, et les placer sur une tôle préalablement graissée et farinée ou alors sur du papier cuisson.
4. Laissez reposer 24 heures à température ambiante.
5. Le lendemain préchauffez le four sur thermostat 4 et faire cuire pendant 18 à 25mn. Le dessus doit rester blanc. Les gâteaux à l'anis doivent gonfler comme un soufflé et se présenter comme sur un petit socle.

Ces petits gâteaux de Noël sont une tradition de la cuisine alsacienne. Certaines familles commencent à les déguster dès le début du mois de décembre. Le résultat est un vrai délice !

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mardi 23 décembre 2014

Billets-L'affaire Zemmour


L'affaire Zemmour

Pour ce correspondant britannique, la polémique autour de l'éviction d'Eric Zemmour de la chaîne i-Télé est typiquement française.

Il était déjà LE succès de librairie du moment avec son livre Le Suicide français vendu à plus de 250 000 exemplaires en trois mois. Il est désormais LE sujet de conversation depuis que la chaîne de télévision i-Télé a décidé de mettre fin à son émission, à la suite d'"une interview accordée au quotidien italien Corriere della Sera [dans laquelle] Zemmour a expliqué que le transfert de la population musulmane de France semblait 'peu réaliste' mais nécessaire pour éviter 'le chaos et la guerre civile'", raconte le journal britannique The Independent.

"La France est coupée en deux par le licenciement de l'extrémiste de droite, islamophobe et misogyne, à la fois le favori et le plus honni", estime le quotidien britannique. Une controverse qui prouve que, contrairement à la crainte de Zemmour que la France perde son identité, "la France reste la France", ironise le correspondant du Daily Telegraph.

Lourd de sens
"Il n'y a pas beaucoup de pays où le renvoi d'un commentateur politique déchaînerait autant de passions. Il n’y a pas beaucoup de pays où les hommes politiques de tout bord auraient défendu Zemmour au nom de la liberté d’expression. Mais si cette polémique est aussi typiquement française, c'est aussi parce qu’elle est sémantique. L'interview serait passée inaperçue si Jean-Luc Mélenchon n'avait rapporté sur son blog que Zemmour appelait à la 'déportation' de tous les musulmans de France, nombre d’entre eux étant des citoyens français de deuxième ou troisième génération", explique quant à lui The Independent.

"En France, le mot 'déportation' est lourd de sens, référence évidente aux centaines de milliers de Juifs et autres citoyens français envoyés dans les camps nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. Zemmour se défend en disant qu'il n'a jamais utilisé ce mot", poursuit le quotidien britannique. Si, répondant à la question du journaliste, il a bien parlé de "chasser" les musulmans, il n'a pas employé le terme de "déportation" !

Dessin de Glez, paru dans Le Jeudi, Ouagadougou.

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samedi 20 décembre 2014

Billets-Un jean anti-hackers


Un jean anti-hackers

Une nouvelle collection de jeans a été conçue spécialement pour lutter contre les "pickpockets numériques". Ces pantalons, créés en partenariat avec Norton, sont faits d'une matière qui empêche tout vol de données numériques dans la rue.

Avec nos cartes de crédit et nos téléphones portables, nos poches contiennent désormais toute notre vie sous forme numérique. Et cela attire les voleurs... On parle à présent de "pickpockets numériques" pour désigner les hackers qui, en piratant les ondes utilisées notamment pour les paiements sans code ni contact, ont accès à toutes les informations sensibles nous concernant et à nos comptes en banque.

En effet, avec leurs téléphones portables, ils pourraient pirater les données émises par les puces de fréquence radio dont sont équipées certaines cartes bancaires nouvelle génération. "Dans les années à venir, les paiements sans code deviendront la norme, et le problème des vols de données numériques dans la rue sera alors encore plus répandu", assure The Independent. Pour cette raison, révèle le quotidien britannique, un nouveau genre de pantalon vient d'être lancé sur le marché : le jean anti-hackers.

Brouiller les données
Les jeans vendus 150 dollars pièce par la marque Betabrand ont deux poches, l'une devant, l'autre derrière, qui sont faites d'une matière qui bloque les ondes à courte fréquence et empêche ainsi tout vol de données. Ce pantalon nouvelle génération a été conçu en partenariat avec Norton, l'entreprise spécialisée dans la lutte contre les virus informatiques. Il a déjà rencontré un succès certain, l'opération de financement participatif nécessaire à sa commercialisation ayant largement dépassé son objectif de collecte initial.

Selon le site américain LifeHacker, il y a cependant peu de chances que l'on soit victime de ce type de piratage, puisque le voleur devrait "maintenir son téléphone sans bouger pendant au moins trente secondes contre votre portefeuille" afin de récupérer les données. Pour ceux qui souhaitent néanmoins se protéger, il suffit d'avoir deux cartes à puces à fréquence radio (RFID) dans son portefeuille. Ou bien "rajouter un bout de feuille d'aluminium". Dans les deux cas, les données seront brouillées.