jeudi 31 mars 2011

Recettes Biscuits-Sablés au chocolat

Sablés au chocolat

Préparation : 20 mn
Repos : 2 heures
Cuisson : 12 à 15 mn
Pour 50 sablés environ
85 g de sucre glace
20 g de cacao en poudre non sucré
165 g de beurre ramolli
1 œuf
275 g de farine
50 g de farine
1. Versez le sucre glace dans un bol, ajoutez la poudre de cacao et mélangez. Mettez le beurre dans une terrine, ajoutez le sucre glace au cacao et travaillez le mélange jusqu’à ce qu’il soit lisse.
2.
Ajoutez alors l’œuf et mélangez vivement, puis versez un tiers de la farine et incorporez-la sans trop travailler la pâte. Incorporez de la même manière le reste de farine, en deux fois. Formez une boule avec la pâte et réservez-la au réfrigérateur pendant 2 heures.
3.
Environ 30 minutes avant de faire cuire les sablés, sortez la pâte du réfrigérateur et laissez-la reposer pendant 10 minutes à température ambiante.
4. Détaillez la pâte en boudins de 3 cm de diamètre, roulez-les dans le sucre et mettez-les au réfrigérateur pendant 15 minutes.
5.
Préchauffez le four à 170 °C (th. 5-6).
6.
Découpez les boudins de pâte en rondelles de 5 mm d’épaisseur et posez celles-ci sur une plaque à pâtisserie, puis mettez au four et laissez cuire pendant 12 à 15 minutes.
7.
Sortez les sablés du four et laissez-les refroidir avant de les déguster.

Conseil

Vous pouvez conserver ces sablés plusieurs jours à condition de les ranger dans un endroit sec et tempéré, à l’abri de l’air.

mercredi 30 mars 2011

Billets-Neda: La force d'une image non vue

Neda: La force d'une image non vue

Je ne suis pas allé voir les images de Neda, innocente jeune fille iranienne morte devant une caméra dans les rues de Téhéran. J’ai hésité, puis j’ai lu divers commentaires. Non, je n’ai pas pu...

Mais, au lendemain de l’avoir découverte, cette image non vue me hante encore. Elle habite mes pensées bien plus que si je l’avais vue. D’ailleurs, je crois que je l’ai vue... elle est comme toutes les images de mort directe qu’on peut voir. Douceur, brutalité, impuissance. Cette image devait-elle « sortir » ? Bien sûr que oui. Grâce à des technologies difficiles à contenir, c’est tout ce qui peut encore s’échapper du couvercle que les Ayatollahs veulent installer sur le peuple iranien. Cette image, grâce à - ou à cause de - sa brutalité est un témoignage indispensable. À l’instar de la "Petite fille brûlée au napalm" ou de "l’Homme de Tian’anmen", deviendra-t-elle mythique ? Il est trop tôt pour oser l’affirmer, mais quelque chose me dit que sa vue est trop insoutenable pour le devenir. Ces images, pour devenir iconiques, doivent afficher une évidente force métaphorique, évoquer la mort plus que la montrer. On me rétorquera que l’image du "Vietnamien tué d’une balle dans la tête" est restée dans toutes les mémoires. Oui, mais c’est un instantané, en noir/blanc un peu bougé, qui grâce à ses « imperfections » conserve malgré tout un aspect évoquatif. On y voit moins la mort à l’oeuvre que dans la vidéo d’une agonie. Peut-être que l’image de Neda restera dans les consciences pour la raison que sa vue est insoutenable... ?

Sommes-nous dans une escalade de la violence imagière ? Peut-être que la circulation des images nous a, en quelque sorte, blindés et nous amène à en vouloir toujours plus, sans tabous ? La faculté d’auto-publication inaugurée par les blogs permet de se passer de médiation, que celle-ci soit culturelle, politique, morale, économique ou plus simplement rédactionnelle. C’est un caractère nouveau qui n’est pas toujours pris en compte lorsqu’on évoque les changements de société induits par les nouvelles technologies. La rapidité, la facilité ou la gratuité sont des facteurs certes positifs, mais qui ne favorisent pas forcément une mise en perspective. Les matériaux publiés sont souvent bruts : à vous de vous débrouiller avec ! Sans cesser d’être voyeurs, essayons de rester regardeurs. Portrait non daté et non authentifié de Neda Agha Soltan, fourni par son fiancé à BBC.

Les vidéos étaient accompagnées de ces lignes, par la suite attribués au docteur Arash Hejazi (un témoin contre lequel les autorités iraniennes ont lancé, le 1er juillet 2009, un mandat d'arrêt), décrivant les circonstances de la mort :

« A 19 h 05 le 20 juin, sur l'avenue Karegar, au carrefour entre les rues Khosravi et Salehi. Une jeune femme qui marchait au côté de son père et regardait la manifestation fut tuée, apparemment par un membre Bassidji caché sur le toit d'une maison. Il avait une vue dégagée et ne pouvait pas la manquer. Cependant, il visa directement au cœur. Je suis docteur et je me suis précipité pour essayer de la sauver. Mais l'impact de la balle était si intense que la balle avait explosé dans sa poitrine, et elle mourut en moins de deux minutes. Les manifestations étaient à environ un kilomètre dans une rue voisine et une partie de la foule courait en direction de la rue Salehi, à cause des gaz envoyés contre eux. La vidéo a été enregistrée par un ami qui était à mes côtés. Je vous en prie, faites en sorte que le monde le sache. »

mardi 29 mars 2011

Recettes Biscuits-Cookies au chocolat

Cookies au chocolat

Préparation : 20 mn

Cuisson : 8 à 10 mn par fournée

Pour 30 cookies environ

110 g de beurre mou

175 g de chocolat noir ou de pépites de chocolat noir

110 g de sucre brun

100 g de sucre en poudre

1 œuf

½ cuillerée à café de vanille liquide

225 g de farine

½ cuillerée à café de levure chimique

1 pincée de sel

1. Faites ramollir le beurre. Si vous n’avez pas de pépites, râpez le chocolat sur une râpe à gros trous, ou hachez-le au couteau.

2. Préchauffez le four à 170 °C (th. 5-6).

3. Battez le beurre dans un grand saladier avec les deux sortes de sucre, jusqu’à ce que le mélange devienne jaune pâle et mousseux. Ajoutez l’œuf entier, puis la vanille liquide. 4. Tamisez la farine avec la levure et le sel. Versez le tout peu à peu en pluie dans la terrine, en travaillant bien avec une spatule en bois pour éviter la formation de grumeaux. Puis incorporez à la pâte les pépites de chocolat noir ou le chocolat râpé.

5. Mettez une feuille de papier sulfurisé sur la plaque à pâtisserie. Disposez des petits tas de pâte bien espacés sur la plaque avec une cuillère à soupe que vous tremperez chaque fois dans un bol d’eau. Aplatissez-les avec le dos de la cuillère de façon à former des disques de 10 cm de diamètre environ.

6. Enfournez pendant 8 à 10 minutes. Les cookies doivent être croustillants à l’intérieur.

7. Sortez-les du four, posez-les sur une grille. Servez-les tièdes ou froids.

lundi 28 mars 2011

Recettes Biscuits-Langues-de-chats

Langues-de-chats

Préparation :
20 mnAjouter une image
 
Cuisson : 5 mn 
 Pour 45 langues-de-chats environ  
125 g de beurre  
1 sachet de sucre vanillé  
100 g de sucre  
2 œufs  
125 g de farine  
1. Coupez le beurre en morceaux et travaillez-le avec une spatule pour le mettre en pommade très lisse. Ajoutez le sucre vanillé et le sucre en poudre et mélangez bien. Puis ajoutez les œufs, un par un. Tamisez la farine, versez-la en pluie et incorporez-la avec un fouet.  
2. Préchauffez le four à 200 °C (th. 6-7).  
3. Mettez une feuille de papier sulfurisé sur la plaque à pâtisserie.  
4. Glissez la pâte dans une douille unie n° 6 et déposez de petites languettes de pâte de 5 cm de long, espacées les unes des autres de 2 cm.  
Conseil pratique  
Les langues-de-chats ne tiendront pas sur une seule plaque à pâtisserie. Faites cuire chaque fournée pendant 4 ou 5 minutes. Quand les langues-de-chats sont refroidies, conservez-les dans une boîte hermétique.

Recettes Chocolats-Chocolat chaud épicé

Chocolat chaud épicé

Préparation :
5 mn
Cuisson : 10 mn
Pour 4 personnes

1 l de lait

200 g de chocolat noir

4 cuillerées à soupe de café soluble

1 pincée de noix de muscade en poudre

1 cuillerée à café de cannelle en poudre

Crème Chantilly en bombe
1. Portez le lait à ébullition dans une grande casserole.
2.
Découpez le chocolat en petits morceaux. Hors du feu, ajoutez dans la casserole le café soluble, la muscade, la cannelle et le chocolat en morceaux. Laissez fondre en remuant.

3.
Réchauffez sans cuire et versez dans quatre tasses. Couronnez de crème Chantilly et servez aussitôt.

Ce chocolat chaud est à réserver pour vos longues soirées d’hiver. Essayez, c’est un délice !

dimanche 27 mars 2011

Billets-Catastrophe nucléaire au Japon

Catastrophe nucléaire au Japon

Alors que ce qui se passe au Japon est une véritable catastrophe (le mot est faible) et que le Commissaire européen à l'Energie avait même, très tôt, parlé d'"apocalypse", l'OMS, elle minimise.

A la fin, il ne faut plus s'en étonner. Après avoir minimisé tous les risques des vaccins, quels qu'ils soient (ceux contre le H1N1 ou les autres), ceux des OGM et les effets néfastes des ondes électromagnétiques sur la santé, l'OMS remet ça avec les dégâts incommensurables du nucléaire.

Ainsi, le 14 mars soit 4 jours après le début de la catastrophe, le porte-parole de l'OMS, Gregory Hartl affirmait:

"Les risques pour la santé publique causés par les fuites radioactives survenues dans des centrales nucléaires au Japon sont minimes."

ou encore:

"D'après ce que l'on sait pour l'instant sur les niveaux de radiation, le risque de santé publique est minime pour le Japon. "

Cela veut dire que si quelqu'un est touché, les risques ne sont pas très grands", a-t-il précisé, M. Hartl a souligné que "très peu de radiations se sont échappées des vapeurs" des réacteurs nucléaires endommagés au Japon. "En plus, a-t-il ajouté, tout le monde était déjà évacué" lorsque les différents incidents ont été enregistrés.

Selon l'OMS, pour l'instant 22 personnes résidant dans les environs de centrales nucléaires ont enregistré de "faibles niveaux de radiation".

Pour rappel, c'est la même personne (Mr Hartl) qui affirmait que l'OMS n'avait rien à cacher au cours de la saga du H1N1 et qu'il était tout à fait normal, selon lui, que l'OMS emploie les "meilleurs experts" qui sont inévitablement liés à l'industrie, avait-il dit en substance.

Le 18 mars soit 4 jours plus tard encore, l'OMS continuait de s'obstiner en ne conseillant toujours pas d'annuler les voyages au Japon!

Le même porte-parole de l'OMS, Gregory Hartl, a déclaré que l'organisation «ne suggérait pas de restrictions des déplacements vers le Japon» à l'extérieur de la zone d'exclusion de 30 kilomètres autour du complexe nucléaire de Fukushima.

M. Hartl a indiqué que cela comprenait Tokyo, où «les niveaux de radiation ont très légèrement augmenté, mais se situent toujours bien en bas des niveaux absolus où cela représenterait un danger pour la santé publique».

Le porte-parole a poursuivi en précisant «qu'en ce moment, le risque pour la santé publique à l'extérieur de la zone d'exclusion est petit». Il a ajouté «qu'en général, les voyageurs revenant du Japon ne représentent pas un risque médical».

Vendredi, des responsables japonais ont reclassé à la hausse le niveau de l'incident nucléaire à la centrale de Fukushima, du niveau quatre au niveau cinq sur une échelle de sept, soit l'équivalent de l'accident de la centrale de Three Mile Island en 1979. Selon cette échelle, un accident de niveau quatre a des conséquences locales, tandis que le niveau cinq implique des conséquences plus importantes.

D'où vient un discours aussi peu crédible et en tel déphasage avec la réalité des faits? Du mariage entre l'OMS et l'A.I.E.A.

L'OMS ne peut prendre aucune position ou tenir le moindre discours en matière d'impact du nucléaire sur la santé sans l'accord de l'A.I.E.A. En d'autres mots, elle obéit au lobby du nucléaire (comme elle a obéi aux lobbies pharmaceutiques pour les vaccins).

Ce mariage mortel et mortifère pour la santé publique explique donc ces propos absurdes et irresponsables.

Car il faut en effet se souvenir que l'OMS avait estimé à 56 le nombre de morts directs dus à Tchernobyl là où le Ministère de la Santé ukrainien l'avait chiffré entre 50 000 et 150 000 dans un document datant de 1995.

L'OMS modifie donc ses alertes et ses prises de positions aux gré de ceux qui la paient ou à qui elle est liée pour le meilleur mais surtout pour le pire.

Tantôt des dangers sérieux comme ceux d'une vaccination expérimentale à l'échelle mondiale ou d'un nouveau Tchernobyl sont minimisés tantôt la grippe H1N1 est présentée comme une "urgence sanitaire".

En fait, l'OMS se permet de jouer avec les citoyens. Constamment. Et ceci ne s'arrêtera pas tant que les citoyens n'auront pas compris le caractère douloureusement répétitif des scandales avec, à chaque fois, comme point commun, les conflits d'intérêts. Réagissons, nous le valons bien!

Recettes Desserts Classiques-Clafoutis aux cerises

Clafoutis aux cerises

Préparation :
15 mn
Macération : 30 mn
Cuisson : 40 mn
Pour 6 personnes

500 g de cerises noires

100 g de sucre en poudre

15 g de beurre pour le moule

125 g de farine

1 pincée de sel

3 œufs
5 blancs œufs
30 cl de lait

Sucre glace

1.
Lavez puis équeutez les cerises, mais ne les dénoyautez pas. Mettez-les dans un saladier, saupoudrez-les avec la moitié du sucre en poudre ; remuez pour répartir le sucre et laissez macérer ainsi 30 minutes.

2.
Préchauffez le four à 180 °C (th. 6).
3. Beurrez une tourtière ou un moule en porcelaine à feu de 24 cm de diamètre.
4.
Tamisez la farine dans un saladier, ajoutez-y une pincée de sel et le reste du sucre en poudre. Battez les œufs en omelette, ajoutez-les et mélangez. Ajoutez enfin le lait et mélangez bien à nouveau.

5.
Disposez les cerises dans la tourtière, puis versez la préparation par-dessus. Enfournez pour 35 à 40 minutes.
6. Sortez le clafoutis du four. Laissez tiédir et saupoudrez de sucre glace. Servez froid dans le moule.
Variante
Vous pouvez faire de la même façon un clafoutis aux mirabelles. Ajoutez dans la préparation 3 cl d’eau-de-vie de ces fruits.

Recettes Tartes-Tarte Tatin aux pommes

Tarte Tatin aux pommes

Préparation : 40 mn 
Repos de la pâte : 30 mn 
Cuisson : 30 mn 
Pour 6 personnes 
Pour la pâte brisée : 
200 g de farine tamisée 
100 g de beurre mou 
2 cuillerées à soupe de sucre en poudre 
1 pincée de sel 
Pour la garniture : 
500 g de pommes à chair ferme 
75 g de beurre
150 g de sucre en poudre 
150 g crème fraîche liquide 
1. Préparez la pâte brisée : coupez le beurre en très petits morceaux. Dans un saladier, versez la farine et creusez un puits au milieu. Ajoutez le sel, le sucre puis les morceaux de beurre. Assemblez rapidement les ingrédients en effritant le mélange du bout des doigts. Versez de l’eau (1 cuillerée à soupe à la fois) pour amalgamer l’ensemble, puis travaillez la pâte jusqu’à ce qu’elle soit bien souple (ni trop molle, ni trop collante). Farinez très légèrement le plan de travail, posez-y la pâte puis étalez-la en l’écrasant, sans trop la pétrir. Formez une boule, enveloppez-la dans un film alimentaire et laissez-la reposer au moins 30 minutes. 
2. Préparez la garniture : pelez les pommes et coupez-les en tranches. Détaillez le beurre en morceaux. Beurrez un moule à tarte. Saupoudrez le fond de 75 g sucre. Disposez-y les pommes et versez le reste de sucre en pluie. Répartissez le beurre par-dessus. 
3. Préchauffez le four à 180 °C (th. 6). 
4. Travaillez la pâte brisée de la paume de la main puis étalez-la sur 4 mm d’épaisseur environ. Découpez un disque de pâte d’un diamètre supérieur de 4 cm à celui du moule. 
5. Recouvrez les pommes avec le disque de pâte en rabattant bien les bords à l’intérieur du moule. Faites caraméliser en posant le moule sur le feu. Laissez chauffer 3 minutes à feu vif puis enfournez pour 30 minutes. 
6. A la sortie du four, posez un plat sur le moule et retournez le tout. Retirez le moule. Laissez tiédir. 
7. Au moment de servir, versez la crème liquide par-dessus.

vendredi 25 mars 2011

Recettes Fruits-Abricots rôtis et amandes

Abricots rôtis et amandes

Préparation : 10 mn
Cuisson : 7 mn

Pour 4 personnes

8 gros abricots
1 blanc œuf
4 «amaretti»
50 g de macarons secs aux amandes
50 g de petites meringues aux noisettes
Sucre en poudre

1.
Mixez les «amaretti», les macarons et les meringues en grosse semoule. Fouettez le blanc d’œuf quelques secondes, puis incorporez la semoule de biscuits.
2.
Préchauffez le four à 160 °C (th. 5-6).
3.
Coupez les abricots en deux, ôtez les noyaux. Poudrez les demi-abricots de sucre et garnissez l’intérieur d’une noix de farce. Mettez-les dans un plat. Enfournez et faites cuire 7 minutes. Servez chaud ou tiède.

Recettes Fruits-Figues caramélisées au muscat

Figues caramélisées au muscat

Préparation : 10 mn
Cuisson : 15 mn
Pour 4 personnes
8 grosses figues
4 cuillerées à soupe de muscat
4 cuillerées à soupe de cassonade
1. Préchauffez le four à 210 °C (th. 7).
2. Lavez et essuyez les figues, coupez-les en lamelles pas trop fines.
3. Répartissez les lamelles de figue dans des plats individuels, arrosez d’un peu de muscat et enfournez. Laissez cuire pendant 10 minutes.
4. Sortez les plats du four, saupoudrez les figues de cassonade et remettez les plats au four 5 minutes environ, pour les faire caraméliser. Servez tiède.
Un dessert d’été tout simple à réaliser.
Variante
Servez avec une boule de glace à la vanille déposée sur les figues au moment de servir.
Ultra rapide
Utilisez des figues surgelées.

jeudi 24 mars 2011

Recettes Tartes-Tartelettes au citron vert

Tartelettes au citron vert

Préparation : 20 mn
Cuisson : 15 mn
Réfrigération : 2 heures
Pour 4 personnes
3 citrons verts
150 g de spéculos
60 g de beurre
2 œufs + 1 jaune
300 g de lait concentré sucré
1. Mixez les spéculos pour les réduire en poudre fine. Ajoutez le beurre mou. Mixez à nouveau. Ramassez la pâte en boule et divisez-la en quatre morceaux. Etalez-les dans quatre moules à tartelette en prenant soin de recouvrir le fond et le bord des moules d’une couche régulière de pâte. Réservez 15 minutes au réfrigérateur.
2. Préchauffez le four sur 180 °C (th. 6).
3. Rincez 1 citron vert, séchez-le. Râpez finement son zeste et coupez 4 tranches fines, pour décorer les tartelettes. Pressez deux citrons.
4. Fouettez 2 œufs entiers avec le jaune, le lait concentré sucré, le zeste et le jus des citrons verts. Versez le mélange dans les moules.
5. Faites cuire 15 minutes au four. Laissez refroidir, puis placez au froid au moins 2 heures avant de servir.

Recettes Chocolats-Brownies aux noix de pécan

Brownies aux noix de pécan

Préparation : 30 mn
Cuisson : 15 à 20 mn
Pour 30 brownies
100 g de chocolat noir amer
185 g de beurre + 10 g pour le moule
3 œufs
225 g de sucre en poudre
90 g de farine tamisée
150 g de noix de pécan
1. Détaillez le chocolat en morceaux et faites-le fondre doucement dans une casserole au bain-marie (40 °C), puis laissez-le tiédir.
2. Coupez le beurre en morceaux et faites-le fondre, puis laissez-le également tiédir.
3. Mélangez les œufs avec le sucre en poudre. Incorporez-y le beurre et le chocolat fondus.
4. Mélangez la farine et les noix de pécan grossièrement hachées, puis ajoutez-les à la préparation précédente, en remuant avec une spatule en bois.
5. Préchauffez le four à 180 °C (th. 6).
6. Beurrez un moule à carré de 30 cm de côté et versez-y la préparation. Lissez bien le dessus avec une spatule et enfournez pour 15 à 20 minutes. La pâte doit rester moelleuse : vérifiez la cuisson avec la pointe d’un couteau, elle doit ressortir avec de la pâte collée.
7. Laissez tiédir avant de démouler, puis retournez le moule sur un plat et laissez refroidir. Découpez d’abord des bandes puis des carrés de 4 cm de côté environ et mettez-les sur le plat de service.
Conseil
Vous pouvez très bien conserver ces brownies pendant quelques jours dans une boîte hermétique.

mercredi 23 mars 2011

Recettes Tartes-Tarte à la banane et au chocolat

Tarte à la banane et au chocolat Au centre

Préparation : 10 mn
Cuisson : 35 mn
Réfrigération : 2 heures
Pour 4 personnes
250 g de pâte feuilletée pré-étalée
180 g de chocolat noir
30 cl de crème fraîche liquide
Quelques amandes effilées
3 bananes
1. Préchauffez le four à 180 °C (th. 6).
2. Garnissez de pâte feuilletée un moule de 28 cm de diamètre, préalablement recouvert de papier sulfurisé. Faites cuire à blanc pendant 20 minutes.
3. Pendant ce temps, cassez le chocolat en morceaux et faites-le fondre doucement au bain-marie, avec la crème fraîche liquide. Mélangez bien.
4. Faites légèrement griller les amandes à sec dans une poêle.
5. Coupez les bananes en rondelles. Disposez-en les deux tiers sur le fond de pâte précuit et versez dessus la crème au chocolat.
6. Décorez le dessus avec le reste des rondelles de banane et les amandes effilées. Mettez 2 heures au réfrigérateur avant de servir.
Variante
N’hésitez pas à donner d’autres formes à cette tarte : utilisez un moule rectangulaire ou encore six petits moules de 8 cm de diamètre environ pour obtenir des tartelettes.
Conseil
Pour cuire la pâte à blanc, piquez le fond de pâte avec une fourchette, placez du papier sulfurisé puis recouvrez de légumes secs et enfournez.

lundi 21 mars 2011

Recettes Tartes-Tarte au chocolat

Tarte au chocolat


Préparation : 15 mn
Cuisson :
25 mn
Repos :
30 mn
Réfrigération :
2 heures
Pour 6 personnes
Pour la pâte sucrée :
60 g de beurre
1 œuf
40 g de sucre glace
2 cuillerées à soupe d’amandes en poudre
1 pincée de sel
110 g de farine tamisée

Pour la ganache :

15 cl de crème fraîche
125 g de chocolat noir

1.
Préparez la pâte sucrée : coupez en très petits morceaux ; dans un saladier, cassez l’œuf, battez-le à la fourchette, puis ajoutez le sucre, les amandes en poudre et le sel. Travaillez vivement le mélange avec une spatule en bois, jusqu’à ce qu’il blanchisse et devienne mousseux. Versez la farine d’un seul coup et mélangez rapidement avec la spatule. Prenez la pâte par petites quantités dans les mains et écrasez-la entre les doigts (elle doit s’effriter en petits grains comme du sable). Farinez très légèrement le plan de travail et versez-y le contenu du saladier. Répartissez le beurre sur la pâte, puis pétrissez le tout pour incorporer le beurre. Formez une boule, enveloppez-la dans du film alimentaire et laissez-la reposer au moins 30 minutes au réfrigérateur.
2. Préchauffez le four à 170 °C (th. 5-6).
3.
Etalez la pâte sur une épaisseur de 2 mm environ. Garnissez-en un moule de 22 cm de diamètre. Piquez le fond à la fourchette, puis couvrez-le d’un papier sulfurisé et de légumes secs. Faites cuire à blanc 12 minutes. Retirez le papier et les légumes secs et continuez la cuisson de 8 à 10 minutes. Sortez le fond de tarte du four et laissez-le refroidir.
4. Préparez la ganache : versez la crème fraîche dans une casserole à fond épais et faites-la chauffer. Cassez le chocolat en petits morceaux et mettez-les à fondre au bain-marie (ou au micro-ondes). Versez peu à peu la crème bien chaude sur le chocolat, en mélangeant soigneusement avec une spatule. Mettez la ganache dans une poche à douille et remplissez-en le fond de tarte. Lissez bien le dessus avec une spatule métallique.
5. Mettez au réfrigérateur jusqu’au moment de servir.

Conseil

Vous pouvez utiliser la crème ganache pour fourrer, napper ou glacer un gâteau. Ne fouettez jamais trop une ganache, car le trop-plein d’air l’empêcherait ensuite de se conserver.

dimanche 20 mars 2011

Recettes Tartes-Tarte aux fraises

Tarte aux fraises

Préparation : 40 mn
Cuisson : 30 mn
Pour 6 personnes
500 g de fraises
Pour la pâte
150 g de beurre
1 œuf
250 g de farine
100 g de sucre
1 pincée de sel
Pour la garniture
2 jaunes d’œufs
20 cl de lait entier
60 g de sucre glace
1 cuillerée à café d’extrait de vanille
1 cuillerée à soupe de crème fraîche épaisse
25 g de maïzena
1. Mélangez la farine avec le sucre, ajoutez le sel et le beurre coupé en morceau, mixez ou travaillez avec les mains. Quand la pâte est bien mélangée, ajoutez l’œuf entier, mélangez à nouveau. Laissez reposer 1 heure au frais.
2. Etalez la pâte dans un moule à tarte beurré de 26 cm. Piquez le fond avec une fourchette. Recouvrez la pâte d’un papier de cuisson. Faites cuire au four préchauffé à 180 °C '(th. 6), pendant 25 à 30 minutes. Laissez refroidir.
3. Pendant ce temps, préparez la crème pâtissière : faites chauffer le lait. Fouettez les jaunes avec le sucre, l’extrait de vanille et la maïzena, versez le lait chaud, mélangez, replacez sur le feu et sans cesser de remuer laissez épaissir et cuire 2 minutes. Hors du feu ajoutez la crème, mélangez et laissez refroidir.

Billets-Respectez le Peuple Tunisien ou dégagez !

Respectez le Peuple Tunisien ou dégagez !

Monsieur le Premier ministre,

Permettez-moi de vous rappeler que c'est le peuple qui vous a permis d'accéder à la primature. Et ce peuple est encore capable de vous en congédier s'il vous juge indigne de la charge.

Vous êtes au poste de premier ministre pour une période de transition, un épisode éphémère. Et les conditions dans lesquelles vous avez été investi de cette fonction sont censées vous éclairer assez sur les tares reprochées à votre prédécesseur pour n'en être pas vous-même prévenu.

Il semble que ni vous ni votre ministre de l'intérieur n'avez assimilé les règles du jeu politique propre à la révolution. Quand le peuple vous somme d'en finir avec le système Ben Ali, qu'il crie:" RCD, dégage!", qu'il descend dans la rue et monte par deux fois à la Kasbah pour en chasser les imposteurs, vous êtes censé avoir reçu cinq sur cinq le message en vertu duquel vous êtes l'actuel premier ministre.

Or pour oser reconduire dans leurs fonctions des administrateurs de la dictature déchue, comme ce fut le cas récemment avec 117 délégués issus du RCD dissous, que la décision vous revienne directement ou soit du seul ressort de votre ministre de l'intérieur, vous donnez l'impression que vous n'avez tiré aucune leçon des deux sit-in de la Kasbah. Au peuple qui crie:" RCD, dégage!" vous rétorquez de manière pour le moins insultante: "Engageons des RCD!"

Le peuple qui a bouté hors du bureau que vous occupez votre prédécesseur l'a fait parce que ce dernier et une bonne partie de son équipe devaient impérativement suivre leur maître. Incarnant de facto les tentacules de la pieuvre benalyenne, la tête de cette pieuvre étant tranchée il serait absurde de soutenir que ces appendices sont sains, qu'ils peuvent s'adapter à la révolution ou que celle-ci puisse les résorber ou s'en accommoder dans cette phase transitoire.

Nonobstant vos déclarations et vos promesses, vous donnez l'impression que vous êtes incapable de rompre réellement avec l'époque révolue. Vous donnez aussi l'impression que vous êtes incapable de comprendre le sens réel de la révolution. Et ce déphasage par rapport au sens de l'histoire et à la volonté du peuple risque de vous emporter vous aussi dans le sillage de ceux qui ont grossièrement insulté le peuple.
Si vous êtes là pour tenter de nous jouer un autre tour de passe-passe, dites-vous que le peuple en a assez qu'on le méprise et qu'on se méprenne encore sur son compte. Dites-vous que ce peuple est prêt à remonter à la Kasbah pour faire valoir ses droits si besoin. Sinon, épargnez au pays et à vous-même cette agaçante tartuferie dont les Tunisiens ne veulent plus.

Le peuple qui a réalisé une révolution exemplaire jusqu'ici, qui a libéré d'autres peuples frères de la léthargie séculaire et incarne depuis le 14 janvier 2011 le porte-flambeau de l'émancipation, le peuple dont l'épopée héroïque est devenue référence dans le monde entier, le peuple qui a donné à la Tunisie ce rayonnement sans précédent ne peut plus vous autoriser ni vous ni vos successeurs à l'insulter!

S'il faut le souligner davantage, dites-vous que ce peuple qui a botté son cul à Ben Ali ne peut plus respirer de près ni de loin la charogne infecte léguée par la dictature. En d'autres termes, RCD et consort dehors! Les hommes de main et les laquais de Ben Ali n'ont plus aucune légitimité pour administrer les affaires du peuple.

Alors, au nom du peuple, faites le ménage comme il se doit dans les appareils administratifs publics ou partez! faites dégager le plus loin possible les restes de la carcasse en putréfaction de la piovra benalyenne!

Au nom du peuple, donnez un coup de balai à ce tas d'excreta qui étouffe le jasmin de notre Tunisie et profane la révolution!

Au nom du peuple, mettez-vous à la page de la révolution ou dégagez!

jeudi 17 mars 2011

Recettes Biscuits-Biscuit de Savoie

Biscuit de Savoie
Préparation : 15 mn
Cuisson : 45 mn
Pour 8 personnes
14 œufs
500 g de sucre en poudre
1 sachet de sucre vanillé
1 pincée de sel
185 g de farine tamisée
185 g de fécule
Beurre pour le moule
1. Cassez les œufs en séparant les blancs des jaunes.
2. Préchauffez le four à 170 °C (th. 5-6).
3. Dans un grand saladier, mettez le sucre en poudre, le sucre vanillé et les jaunes d’œufs, puis mélangez jusqu’à ce que la préparation soit bien lisse et blanchisse.
4. Battez les blancs en neige très ferme avec 1 pincée de sel. Incorporez-les au mélange précédent, avec la farine et la fécule et continuez de bien remuer, en tournant toujours dans le même sens pour ne pas casser les blancs, et jusqu’à ce que la pâte soit homogène.
5. Beurrez un moule à biscuit de Savoie ou un moule à génoise de 28 cm de diamètre, puis poudrez-le de fécule. Versez-y la pâte : le moule ne doit être rempli qu’aux deux tiers.
6. Mettez au four pendant 45 minutes.
7. Démoulez le biscuit sur un plat de service à la sortie du four. Servez-le froid.
Ce biscuit est très léger grâce aux nombreux blancs battus en neige qu’il contient.
Conseil pratique
Vérifiez la cuisson avec la pointe d’un coureau : elle doit ressortir propre.

Recettes Pizzas-Pizza à la florentine

Pizza à la florentine

Préparation : 35 mn
Repos : 1 heure 30
Cuisson : 15 mn
Pour 4 personnes
Pour la pâte :
250 g de farine tamisée
8 g de levure fraîche de boulanger
2 cuillerées à soupe d’huile d’olive
10 cl d’eau tiède
Sel
Pour la garniture :
200 g de tomates pelées et concassées
2 gousses d’ail
200 g d’épinards frais
1 cuillerée à café de sucre en poudre
120 g de mozzarella
4 œufs
Huile d’olive
Sel et poivre du moulin
1. Emiettez la levure dans un bol avec 10 cl d’eau tiède. Versez la farine dans un saladier et la levure diluée. Mélangez bien. Incorporez les 2 cuillerées à soupe d’huile d’olive, le sel et pétrissez la pâte pendant 10 minutes.
2. Roulez la pâte en boule, couvrez-la d’un linge et laissez gonfler 45 minutes dans un endroit tiède, à l’abri des courants d’air. Pétrissez-la ensuite 5 minutes. Etalez la pâte sur une plaque de four huilée. Couvrez d’un linge et laissez reposer 45 minutes dans un endroit tiède, à l’abri des courants d’air.
3. Préchauffez le four à 210 °C (th. 7).
4. Epluchez et hachez les 2 gousses d’ail. Hachez les tomates et mettez à cuire à feu doux pendant 12 minutes avec l’ail, 2 cuillerées à soupe d’huile d’olive et le sucre en poudre. Lavez et égouttez les épinards.
5. Ebouillantez les épinards, égouttez-les soigneusement. Découpez la mozzarella en tranches. Disposez les tomates et la mozzarella sur la pâte. Couvrez d’épinards. Salez et poivrez.
6. Mettez à cuire 12 minutes environ. Sortez la pizza du four et cassez les œufs. Remettez à cuire 3 minutes environ. Poivrez généreusement et servez aussitôt la pizza.
Cette recette typique de Florence va combler tous les gourmands.
Conseil
Si ce n’est pas la saison des épinards, vous pouvez très bien utiliser des épinards surgelés. Veillez simplement à choisir des épinards en branches et à les passer quelques minutes à la poêle avec 1 cuillerée à soupe d’eau avant d’en garnir la pizza
.

mercredi 16 mars 2011

Recettes Biscuits-Rochers congolais

Rochers congolais

Préparation : 20 mn
Cuisson : 10 mn
Pour 20 rochers environ
300 g de sucre en poudre
1 pincée de sel
5 blancs d’œufs
250 g de noix de coco râpée
1 cuillerée à café de vanille en poudre
30 g de beurre
1. Placez une terrine au bain-marie dans une casserole d’eau sur le feu, versez-y le sucre, le sel et les blancs d’œufs.
2. Fouettez régulièrement jusqu’à ce que le sucre soit fondu et le mélange, chaud. Versez la noix de coco râpée et la vanille puis remuez. Retirez du feu.
3. Préchauffez le four à 250 °C (th. 8-9).
4. Tapissez une plaque à pâtisserie de papier sulfurisé.
5. Avec une petite cuillère, disposez sur la plaque des petites pyramides de pâte, à intervalles réguliers, pas trop rapprochées. Faites cuire pendant 10 minutes environ.
6. Sortez les congolais du four, laissez-les refroidir avant de les décoller du papier.

mardi 15 mars 2011

Recettes Tartes-Tarte à la rhubarbe

Tarte à la rhubarbe

Préparation : 30 mn
Macération : 8 heures
Repos de la pâte : 30 mn
Cuisson : 45 mn
Egouttage : 30 mn
Pour 6 personnes
60 g de sucre cristallisé
Pour la rhubarbe :
600 g de rhubarbe
60 g de sucre en poudre
Pour la pâte brisée :
150 g de farine tamisée
100 g de beurre mou
2 cuillerées à soupe de sucre en poudre
1 pincée de sel
Pour la crème :
1 œuf
75 g de sucre en poudre
2 cuillerées à soupe de lait
3 cuillerées à soupe de crème fraîche liquide
25 g d’amandes en poudre
55 g de beurre froid
1. La veille, nettoyez la rhubarbe. Coupez les côtes en tronçons de 2 cm. Mettez-les dans un grand saladier et saupoudrez-les de sucre en poudre. Couvrez et laissez macérer 8 heures au moins.
2. Le lendemain, préparez la pâte brisée : coupez le beurre en très petits morceaux. Dans un saladier, versez la farine et creusez un puits au milieu. Ajoutez le sel, le sucre puis les morceaux de beurre. Assemblez rapidement les ingrédients en effritant le mélange du bout des doigts. Versez de l’eau (1 cuillerée à soupe à la fois) pour amalgamer l’ensemble, puis travaillez la pâte jusqu’à ce qu’elle soit bien souple (ni trop molle, ni trop collante). Farinez très légèrement le plan de travail, posez-y la pâte puis étalez-la en l’écrasant, sans trop la pétrir. Formez une boule, enveloppez-la dans un film alimentaire et laissez-la reposer au moins 30 minutes.
3. Versez la rhubarbe dans une passoire et laissez-la s’égoutter 30 minutes.
4. Préchauffez le four à 180 °C (th. 6).
5. Garnissez de pâte un moule de 26 cm de diamètre, à revêtement antiadhésif. Piquez le fond de nombreux coups de fourchette. Recouvrez le moule d’un papier sulfurisé et mettez par-dessus des légumes secs. Faites cuire la pâte au four pendant 15 minutes.
6. Préparez la crème : battez l’œuf et le sucre dans un bol, ajoutez-y le lait, la crème, les amandes en poudre et le beurre. Mélangez.
7. Retirez le papier sulfurisé et les légumes secs de la tarte. Disposez les tronçons de rhubarbe sur la pâte puis versez la crème aux amandes et mettez la tarte au four pendant 15 minutes environ. Servez la tarte froide ou à peine tiède après l’avoir généreusement saupoudrée de sucre cristallisé.
Variante
La rhubarbe peut être remplacée par 700 g de myrtilles ou par 600 g de mirabelles.

dimanche 13 mars 2011

Recettes Chocolats-Chocolat liégeois

Chocolat liégeois

Préparation : 15 mn
Cuisson : 5 mn
Pour 6 personnes
1,2 litre d’eau
100 g de sucre en poudre
250 g de chocolat noir
50 g de cacao en poudre
20 cl de crème fraîche liquide
75 cl de glace au chocolat
Copeaux de chocolat noir
1. Préparez la boisson au chocolat : portez l’eau à ébullition avec le sucre. Hachez le chocolat. Ajoutez le chocolat haché et le cacao dans l’eau bouillante en fouettant vivement au fouet à main. Portez de nouveau à ébullition, puis retirez du feu.
2. Mixez le mélange pendant 3 minutes, puis versez-le dans un grand saladier. Laissez refroidir la boisson au chocolat avant de la mettre au réfrigérateur.
3. Mettez un saladier à glacer 15 minutes au congélateur. Montez-y la crème liquide en crème fouettée ferme. Mettez-la dans une poche munie d’une douille à bout cannelé.
4. Au moment de servir : façonnez 2 boules de glace au chocolat par personne. Placez-les dans un verre haut. Versez dessus la boisson au chocolat froide. Terminez par une rosace de crème fouettée. Parsemez de copeaux de chocolat. Servez aussitôt avec une paille et une cuillère à glace.
Conseil
Pour réussir la crème fouettée, la crème fraîche doit être placée au réfrigérateur au moins 2 heures avant d’être utilisée. Arrêtez de travailler la crème dès qu’elle est ferme, sinon elle se transforme en beurre.

samedi 12 mars 2011

Billets-Guerre d'images dans l'impasse afghane

Guerre d'images dans l'impasse afghane

"Je ne mens jamais, sauf quand je lis le journal à haute voix, évidemment !" - Jean Yanne

L'argent est le nerf de la guerre, dit un vieil adage latin. L'image aussi par les temps qui courent. En réalité, en toute guerre il y a un front réservé aux soldats des médias, à la propagande belliqueuse qui mobilise l'élite de ses tireurs. Faiseurs d'opinion, et des mieux rodés, dont les feux ne sont pas moins nourris ni meurtriers que ceux opposant directement les forces belligérantes.

Du temps de l'Algérie française, pour justifier les horreurs de la guerre d'Alger, la torture, les exécutions sommaires, les expéditions punitives contre des villages et des quartiers, l'armée française ne lésinait pas sur les moyens médiatiques destinés à "éclairer" l'opinion publique, et à moyen ou long terme l'histoire.

Que n’avait-on pas montré pour dire au récepteur convié à juger de lui même que les combattants du F.L.N étaient des bandits sans foi ni loi, des terroristes d'une autre durée, d'un âge autre, des sadiques capables des pires atrocités, qui tuaient et défiguraient leurs victimes, les émasculaient, leur coupaient le nez, les brûlaient vifs. Néanmoins si l'image pouvait opiner dans le sens de ceux qui s'en servaient comme arme des mieux fourbie, et elle opinait souvent, mais surtout de la tête de ceux qui ne voyaient de la guerre que l'image savamment triée pour eux et tronquée, c'est parce que tout ce qui précédait et entourait la pièce à conviction, tout ce qui servait de contexte était occulté.

Dans les archives des horreurs imputées aux tortionnaires du FLN, plus d'une image donneraient la réplique à Aïsha, la belle afghane au nez coupé, faisant la couverture choc du Time Magazine. Le numéro titrait la publication: "Ce qui se passe si nous quittons l'Afghanistan".

On voudrait juste dire, en guise de commentaire à chaud à ce titre riche en supposés et présupposés:" Vous êtes en Afghanistan, messieurs-dames. Qu'avez-vous fait pour empêcher cela?"

Votre psychose délirante est la même qui réconfortait les défenseurs de l'Algérie française face à leurs adversaires. Ils se retranchaient derrière les supputations des malheurs que leur présence épargnerait aux autochtones comme si les malheurs déjà comptabilisés de ces derniers n'étaient pas la conséquence directe de leur présence même. Ils invoquaient, entre autres, ces Algériens défigurés par le FLN dans la période de la guerre d'Alger. Avec grossissement caricatural des chiffres et la redite et rediffusion, sous divers angles et clichés, du même supplicié. En tout et pour tout, ils n'étaient que quelques uns, à avoir subi la peine du "sourire kabyle", ceux qui étaient punis pour avoir désobéi à un mot d'ordre appelant à boycotter le tabac. A un moment où le FLN se sentait menacé dans son existence, il a décrété une loi dans le cadre de la guerre économique, visant à boycotter deux produits français non vitaux: le tabac et l'alcool. L'argument du FLN était clair: fumer ou boire, dans le contexte de l'Algérie française, c'est alimenter les caisses de l'occupant qui produit et vend l'alcool et les cigarettes. Quiconque sort un centime de sa poche et le met dans celle du colonisateur français devient l'allié objectif de ce colonisateur. La guerre économique et la lutte armée allant de pair, le FLN se devait d'agir en conséquence. Porter un coup, si minime soit-il, au nerf de la guerre coloniale, c'est rapprocher le peuple algérien de la fin pour laquelle il se battait. A cet égard, la loi décrétée a beau être implacable, au vu du contexte qui la motive elle est juste. Il n'est de guerre sans lois d'exception. Et en tous pays, la morale de discipline guerrière ne se limite pas seulement aux combattants armés, elle concerne aussi les civils, tout le monde étant sur la même galère. Par conséquent, ceux qui ne se pliaient pas au mot d'ordre du FLN devaient subir le châtiment inexorable, c'est-à-dire se faire amputer le nez et les lèvres. Encore faut-il rappeler, parce qu'on ne dira jamais assez la vérité, que la sentence ne s'appliquait jamais à la première constatation de contravention, mais en dernier recours, une fois épuisés les moyens intermédiaires de dissuasion. Le fautif était averti verbalement une première fois, devait payer une lourde amende en cas de récidive. Et s'il s'avérait "incorrigible" on l'amputait alors des organes qui lui permettent de fumer et de boire. Quand il fallait neutraliser les informateurs, et c'était encore plus légitime, en hommes traqués et sachant que la prévention radicale était leur seul moyen de salut, les combattants du FLN procédaient à des exécutions spectaculaires devant la population. Le sort infligé au traître devait servir d'exemple à tous: là encore, la loi est implacable mais juste.

Et c'est une terreur que le FLN n'avait pas inventée. Les Irlandais pratiquaient la même chose, et face aux collaborateurs les résistants français faisaient autant.

Mais quand ces atrocités sont livrées aux photographes et confiés essentiellement aux correspondants des organes de presse inféodés à l'armée, c'est une autre loi qui s'en saisit évidemment. L'omission délibérée de ce contexte, l'ablation de la réalité coloniale qui fut aux origines d'une telle horreur, désarme quiconque voit l'image et ne peut l'appréhender qu'à travers elle-même, c'est-à-dire en tant que signe apodictique (et non en tant que procédé persuasif) ou à travers le texte illustré par tel signe, élaboré en fonction d'une intention communicative assignée aux mêmes fins.

Bref, sous la main de ceux qui la manipulent à leur guise, l'image dit mieux que tout autre discours politique ou communiqué d'état-major le message destiné à nous conforter et conjurer les démons de toute raison critique pouvant assaillir notre conscience. Le monde civilisé n'a rien à se reprocher dans la guerre qu'il livre aux forces du Mal, à la barbarie. Il n'aurait rien à se reprocher non plus si, dans cette guerre, il en venait à commettre par-ci par-là une bavure, tirait à côté et faisait tomber sans le vouloir quelque victime "collatérale". Ces risques du métier comporteraient ipso facto leur caractère absolutoire et, par conséquent, n'ôteraient rien à la justesse de la guerre qu'il faut en toute circonstance bénir et soutenir.

Face au parti qui soutient la non pertinence de l'idéal humanitaire dans la guerre en Afghanistan, les armées en place usent de la même stratégie. L'argument purement discursif, étayé par les meilleurs exemples pour défendre cette guerre dont la morale ne cesse de s'éroder sera incapable, à lui seul, de soutenir la bonne cause de la guerre. Les bombes, le massacre des civils, l'occupation d'un pays où tant de forces et de moyens sont déployés depuis des années, la situation d'enlisement qui s'affirme jour après jour, autant d'éléments ne permettent pas de rassurer ceux qui se disent:" pourquoi tout ça? et jusqu'à quand?" Faute de crédit lui permettant de justifier l'injustifiable, l'idéal humanitaire qui -est-il besoin de le rappeler?- ne constitue qu'un alibi, un couvert sous lequel les puissances engagées veulent contrôler cette zone qui se trouve au confluent d'une région géostratégique, se rabat sur la rhétorique persuasive pour s'assurer un semblant de légitimité.

Et forcément, quand on voit cette pauvre Afghane dont la beauté a subi un tel dommage, la sentence à l'encontre de ceux qui ont perpétré un tel crime est sans appel. C'est de la barbarie à l'état brut. Et c'est peu dire. Néanmoins, que disent les Talibans eux-mêmes à propos de cet acte? Et pourquoi ne les croirait-on pas après tant de manipulations médiatiques dénoncées par des experts, et des Américains de surcroît, qui avaient démontré ce dont le Pentagone est capable pour diaboliser le camp adverse et, au besoin, nourrir le mythe de Al-Quaïda?

Mais mythe ou réalité, la vraie question serait vraisemblablement ailleurs. D'aucuns voudraient qu'il n'y ait dans cette tranche douteuse de l'humanité que des coupables absolus! Il y a belle lurette que les Islaminators ne se s'offusquent plus d'épidermiser ni d'islamiser sans équivoque cette violence typique à l'encontre des femmes, contre laquelle le monde civilisé est indubitablement prémuni.

Bref, les intentions de Time Magazine sont bonnes, c'est certain. Mais il est certain aussi que l'enfer est pavé de bonnes intentions.

Contre toute apparence, les barbares, les machos, les victimaires qui martyrisent les femmes ne sont pas seulement dans ces pays localisés dans les limbes du Moyen-âge, mais seraient de tous bords et toutes confessions. Il suffit de regarder et chercher autour de soi pour voir que les femmes afghanes n'auraient pas à envier outre mesure leurs sœurs dans le reste du monde. Pour autant qu'on veuille voir la réalité loin du prêt-à-penser et de tout préjugé.

On dénombre deux millions de femmes en France victimes des violences conjugales. Dans ce même pays, 400 meurent annuellement des suites d'agressions perpétrées par leurs maris, soit une femme par jour. Dans le reste des pays de l'Union Européenne, la situation n'est guère moins triste. Une femme sur cinq est battue par son conjoint dans l'UE, huit femmes meurent en conséquence tous les mois en UK, 27 par an en Finlande. Et l'on ne cite pas les chiffres, plus accablants encore, qui concernent des violences sexuelles, allant du harcèlement à la traite, en passant par le viol et la prostitution forcée.

jeudi 10 mars 2011

Recettes Fruits-Pêches Melba

Pêches Melba
Préparation : 30 mn
Cuisson : 13 mn
Pour 4 personnes 500 g de framboises
4 pêches de préférence blanches
50 cl de glace à la vanille
Pour le sirop
1 litre d’eau
500 g de sucre en poudre
1 gousse de vanille
1. Préparez la purée de framboise : écrasez les framboises au mixeur ou au moulin à légumes.
2. Préparez les pêches : plongez les pêches dans de l’eau bouillante pendant 30 secondes, puis passez-les immédiatement sous l’eau froide et épluchez-les.
3. Préparez le sirop : faites bouillir pendant 5 minutes l’eau avec le sucre et la gousse de vanille fendue et grattée. Plongez-y les pêches pendant 7 à 8 minutes en les retournant.
4. Égouttez-les et laissez-les refroidir complètement. Puis coupez-les en deux et dénoyautez-les.
5. Mettez la glace au fond d’une grande coupe ou dans chaque coupe individuelle. Disposez les pêches dessus et nappez-les de purée de framboise. 


Pour varier Vous pouvez réaliser de la même façon des poires Melba en pochant des poires dans le sirop vanillé.

mercredi 9 mars 2011

Recettes Fruits-Mousse à la mandarine

Mousse à la mandarine

Préparation : 20 mn
Cuisson :
5 mn
Réfrigération : 5 heures
Pour 4 personnes
6 mandarines non traitées
1 citron non traité
80 g de sucre en poudre
2 blancs d’œufs
600 g de fromage blanc
4 cuillerées à soupe de crème fraîche
2 cuillerées à soupe de Cointreau
1 pincée de sel
1. Lavez les mandarines et râpez finement le zeste de deux d’entre elles. Coupez 5 mandarines en deux et pressez-en le jus.
2. Râpez le zeste du citron et pressez son jus.
3. Versez les jus dans une petite casserole, ajoutez les zestes et le sucre. Mélangez et faites fondre le sucre à feu doux. Ajoutez le Cointreau.
4. Montez les blancs d’œufs en neige ferme avec la pincée de sel.
5. Versez le fromage blanc et la crème fraîche dans un saladier, battez vigoureusement, puis incorporez peu à peu le jus sucré et les blancs montés en neige. Mélangez bien.
6. Versez la mousse dans des coupes individuelles et mettez à rafraîchir au réfrigérateur pendant 4 ou 5 heures.
7. Au moment de servir, décorez les coupes avec les quartiers.
Purées et mousses de fruits sont de délicieux desserts à part entière, et peuvent être servies seules ou en accompagnement des gâteaux et des biscuits. Elles peuvent être préparées à partir de la pulpe du fruit ou à partir de son jus.
Conseil
Vous pouvez servir cette mousse avec des petits gâteaux secs, par exemple des tuiles.

mardi 8 mars 2011

Recettes Fruits-Mûres en gâteau caramélisé

Mûres en gâteau caramélisé
Préparation : 20 mn
Cuisson : 10 mn
Pour 2 personnes
250 g de mûres
10 cl de lait
2 œufs
30 g de beurre salé
80 g de farine
½ sachet de levure
1 sachet de sucre vanillé
1. Dans une jatte, versez la farine, la levure et la moitié du sucre, mélangez. Incorporez 20 g de beurre, les œufs et le lait, mélangez bien.
2. Faites fondre doucement le reste du beurre dans une grande poêle.
3. Mettez les mûres dans un saladier. Saupoudrez-les de sucre, mélangez, et sans attendre disposez-les dans la poêle. Versez la pâte dessus et laissez cuire le gâteau à la façon d’un pancake, 15 minutes à feu très doux. Quand la pâte est suffisamment prise, saupoudrez-la des deux sucres.
4. Retournez-la à l’aide d’une assiette et laissez caraméliser l’autre côté du gâteau, 5 minutes environ. Dégustez chaud ou tiède, selon votre goût.